Hydro a convenu avec Orkla d’acquérir la participation de 50 % que cette dernière détenait dans Sapa pour une valeur totale d’entreprise de 27 milliards de couronnes norvégiennes (NOK), la propriété revenant uniquement au leader mondial des solutions en aluminium extrudé et permettant à Hydro de devenir le chef de file du secteur de l’aluminium mondial.
Les étapes-clés de la transaction :
- Accord contraignant relatif à l’acquisition de la participation de 50 % détenue par Orkla dans Sapa
- Valeur d’entreprise de Sapa : 27 milliards de couronnes norvégiennes (NOK)
- Sapa va devenir une nouvelle division d’Hydro, dénommée Extruded Solutions
- Conclusion de la transaction prévue au cours deuxième semestre 2017
- Logique stratégique forte
• Leadership mondial : production et offre clients à l’international, associées à des capacités techniques incomparables
• Croissance : capacité et liberté permettant une croissance dans les secteurs les plus attractifs de l’aluminium mondial
• Des solutions à l’infini : des opérations responsables et des solutions durables au service de la future économie bas carbone
« Cela renforcera notre capacité de croissance et nous permettra d’offrir à nos clients davantage de solutions mieux adaptées », déclare le PDG de Sapa, Egil Hogna. En conjuguant nos forces, nous allons créer le leader mondial de l’aluminium avec une offre unique et une expertise inégalée.
La transaction sera financée par des positions de trésorerie et par l’émission d’obligations sur le marchés norvégien et le marché international, et recevra un financement temporaire au moyen de facilités de crédit consenties mais non utilisées. À la suite de la transaction, Hydro s’est engagée à maintenir le rating « investment grade » (notation des agences de rating) et un bilan robuste. Hydro conservera sa politique de dividendes consistant à générer un bénéfice net de 40 % tout au long du cycle, avec un seuil de 1,25 NOK par action en 2017.
La transaction devrait être finalisée d’ici le second semestre 2017, dans l’attente des agréments des autorités de la concurrence du Brésil, du Canada, de la Chine, l’UE et de la Turquie.