La PME française Noralsy, acteur depuis plus de 40 ans de systèmes d’interphonie et de contrôle d’accès résidentiel et tertiaire annonce le rachat de 80 % du capital de la startup marseillaise Fenotek,conceptrice de l’interphone connecté Hi) et de solutions de
contrôle d’accès et de surveillance pour les maisons individuelles. Bruno Davoine et Emmanuel Levy seront aux commandes de la société qui bénéficie dorénavant de la puissance industrielle et commerciale de Noralsy pour faire de la marque Fenotek un des leaders de l’interphonie grand public.
Fenotek reste une société indépendante avec son siège social à Marseille. Les fondateurs restent actionnaires à hauteur de 20 % du capital.
Pour Noralsy cette acquisition permet d’intégrer un produit et une technologie innovante dans une gamme complémentaire pour développer de nouveaux services et accéder à de nouveaux marchés en pleine croissance : « Depuis notre création, notre cœur de marché s’est toujours porté sur le contrôle d’accès des bâtiments collectifs. Avec Fenotek, nous diversifions notre offre et pénétrons le marché de la sécurité de la maison individuelle » déclare Emmanuel Levy, président de Noralsy et de Fenotek.
Une ambition commune, faire de Fenotek un des leaders du secteur
L’équipe commerciale de Noralsy va être très rapidement formée sur l’offre produit de Fenotek et commercialisera la gamme Pro en France et à l’étranger auprès de ses réseaux de distribution profession- nelle : distributeurs spécialisés en courant faible, en automatisme, en quincaillerie, distributeurs généra- listes de produits électriques,... Fenotek conserve la distribution de la version grand public de l’interphone connecté Hi) sur les plateformes de marché, les grandes surfaces de bricolage (GSB) et les grandes surfaces spécialisées (GSS). « Notre objectif est ainsi de multi- plier par cinq la part de marché de Fenotek sur le marché de l’accès et la sécurité de la maison individuelle d’ici fin 2023 et de construire de nouveaux flux d’activité sur de nouveaux usages liés à l’évolution du mode de vie des utilisateurs », conclut Bruno Davoine.